RAPPEL

dead line est étendue au 25 septembre

merci de votre participation très utile

Cher(e)s collègues,

Avec l’évolution des missions des conseillers en génétique prévue dans la loi de Bioéthique, le projet de formation au métier prochainement étendue en Ile de France, potentiellement en Rhône-Alpes et la nécessaire évolution des carrières et des statuts, une évaluation prospective des besoins s’impose au niveau national, pour les dix ans qui viennent.

A cet effet, vous voudrez bien trouver ci-dessous le lien du sondage en ligne préparé avec la contribution d’un groupe de travail national formé à l’occasion  des dernières Assises de génétique à Tours :« Questionnaire besoins prospectifs en CG : projection à dix ans, France métropolitaine & DOM-TOM ». Ceci vous prendra moins de 5 minutes.Vous pourrez sauvegarder vos réponses sous forme d’un enregistrement pdf.

https://redcap.sbim-stlouis.org/surveys/?s=YFWTDHJ9N4

Si l’AFCG est en copie de ce message pour information, les réponses sont attendues de la part des médecins généticiens : le postulat demeure qu’un conseiller en génétique travaille sous la responsabilité d’un médecin généticien.

Le contexte très évolutif de la Génétique médicale, la demande en forte croissance concerne à la fois les maladies rares autour des pathologies périnatales ou pédiatriques et les maladies de l’adulte telles que cardio-vasculaires, psychiatriques, neurologiques et cancer. S’ajoute à cela, l’accès au soin des données génomiques qui vont résulter du programme France Médecine Génomique 2025. Il apparait nécessaire de consolider les nouveaux métiers paramédicaux qui interviennent dans la filière : conseiller(ère)s en génétique, ingénieur hospitalier et bio-informaticien spécialisés en génétique.

S’agissant plus particulièrement des conseiller(ère)s en génétique, leur activité est indispensable pour permettre aux médecins de répondre au flux de plus en plus important de patients. Il est important de relever qu’il existe de nombreux postes actuellement vacants. C’est la raison pour laquelle l’initiative francilienne a vu le jour. Une évaluation des besoins au niveau national s’impose afin d’ajuster le nombre des conseillers à former et ne pas risquer de saturer la profession. Enfin, ceci pourra contribuer à argumenter la progression du statut, des salaires et de la carrière des conseillers en génétique.

Par avance, nous vous remercions de répondre à ce sondage pour le lundi 14 septembre au plus tard; étendue au 25 septembre